Prière d’avril pour la paix et les malades

Thème : la joie de Dieu, humour, sourires et éclats de rire

Pour entrer dans le silence et pour te prier, pour m’ouvrir à ta présence, je souris, Seigneur

L’humour Saint Thomas More écrivait ceci (dans L’utopie) : « On me reproche de mêler boutades, facéties et joyeux propos aux sujets les plus graves. Avec Horace, j’estime qu’on peut dire la vérité en riant. Sans doute aussi convient-il mieux au laïc que je suis de transmettre sa pensée sur un mode allègre et enjoué, plutôt que sur le mode sérieux et solennel, à la façon des prédicateurs. » / En ce mois d’avril qui commence traditionnellement par un jour où on échange des plaisanteries, essayons de prendre la vie avec légèreté, même si la vie elle-même nous donne de traverser des choses graves. Alors entrons dans la prière avec le sourire, au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. / Amen

Tressaillons de joie (bis) car nos noms sont inscrits pour toujours dans les cieux ! Tressaillons de joie (bis) car nos noms sont inscrits dans le cœur de Dieu !

Le Psaume 126 nous dit que « Dieu emplit notre bouche de rire et nos lèvres de chansons. » Or, l’humour et le rire sont excellents pour la santé. Le rire est une détente pour l’esprit. Il possède une action relaxante. Mais le rire n’a pas qu’une efficacité psychique, il a aussi des vertus physiologiques. Tout notre organisme est concerné, c’est une véritable onde qui se transmet à travers tout notre corps. / « Abraham tomba sur sa face, il rit et dit en son cœur : Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? » (Genèse 17:17) Dieu aime le rire. D’ailleurs, Isaac signifie en hébreu : « Que Dieu rie, sourie, soit bienveillant. »  La Bible donne profusion de versets parlant de la joie et de la gaité et nous incitant à nous réjouir. Le rire est l’épanouissement de la gaieté. / Alors peut-on rire de tout ? Eternelle question… Rappelons-nous malgré tout qu’une plaisanterie doit rester quelque chose de plaisant et ne pas se transformer en moquerie. Les Psaumes nous rappellent : « Préserve ta langue du mal et tes lèvres des paroles trompeuses. » (34:14) Ne nous laissons pas prendre au piège : « Si quelqu’un croit être religieux, sans tenir sa langue en bride, mais en trompant son cœur, la religion de cet homme est vaine. » (Jacques 1:26) /

Ensemble : Seigneur, tu nous veux remplis de joie, mais ne laisse pas notre conscience s’insensibiliser. Garde-nous de l’esprit d’insouciance et de légèreté qui caractérise notre monde. Que notre rire ne soit jamais blessant.

Raoul Follereau, “Le Livre d’amour” (1920) : Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup. Il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvrir ceux qui le donnent. Il ne dure qu’un instant mais son souvenir est parfois éternel. Car nul n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres. / Personne n’est assez riche pour s’en passer, personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter. Il crée le bonheur au foyer et soutient les affaires. Il est le signe sensible de l’amitié. / Un sourire donne du repos à l’être fatigué, rend du courage aux plus découragés. Il ne peut ni s’acheter, ni se prêter, ni se voler, car c’est une chose qui n’a de valeur qu’à partir du moment où il se donne. /

Si vous rencontrez une personne qui ne sait plus avoir le sourire, soyez généreux, offrez-lui le vôtre. Car nul n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres. /

Tressaillons de joie (bis) car nos noms sont inscrits pour toujours dans les cieux ! Tressaillons de joie (bis) car nos noms sont inscrits dans le cœur de Dieu !

René Barjavel dans Ravage (1943) : « Pour ceux dont l’esprit est occupé de choses d’importance, sourire est du temps perdu. » / La gravité est parfois présentée comme le caractère d’un chrétien suffisamment mature, qui a une vie de piété avec Dieu. Cependant Dieu a donné à chacun de nous un caractère différent, mais à son image. L’un manifeste une joie intérieure paisible, l’autre une joie plus communicative. Jésus lui-même n’a-t-il pas contribué à l’atmosphère heureuse d’un mariage en changeant l’eau en vin ? (Jean 2 : 1-9). /

Ensemble : Seigneur, garde-nous d’afficher une gravité factice, simple façade qui se voudrait « religieusement » correcte. Ton Evangile nous appelle à être joyeux. Donne-nous de savoir exprimer notre joie et d’être contagieux.

Jésus a dit à ses disciples : « Je vous reverrai, et votre cœur se réjouira, et personne ne vous ôte votre joie » (Jean 16 : 22). Il nous dit aussi : « Je vous ai dit cela afin que ma joie soit en vous et que votre joie soit complète » (Jean 15 : 11 ; 16 : 22). Nous qui sommes les enfants de Dieu, nous connaissons une source intérieure de joie qui ne tarit pas. /           

Ensemble : Seigneur, que personne ne nous ôte notre joie, cette joie de t’appartenir, toi, notre soutien, notre paix, notre espérance. Fais que nous trouvions toujours notre vrai bonheur en toi, dans la lecture de ta Parole, la prière, la louange.

« Je suis béni des dieux », disait Henri Salvador dans La joie de vivre (2011), j’ai reçu le soleil dans mon sourire. » /

Ensemble : Seigneur, sois le soleil de notre vie, illumine chacune de nos paroles.

D’après Nicolas Burle, Frère dominicain : Il existe une tradition pleine de sagesse dans les pèlerinages : prendre avec soi un caillou le jour de son départ et le porter jusqu’au terme du pèlerinage. Le caillou représente le poids mort de nos vies, ce qui nous pèse, ce qui nous ralentit, ce qui nous attriste, ce qui ternit notre joie intérieure. Ce n’est pas un rocher, ce n’est pas non plus un gravier. Et à l’arrivée, on le pose devant la croix en faisant l’effort de ne pas le reprendre à la fin de la prière. Ce petit caillou dans la poche, c’est ce qui transforme la balade en pèlerinage. /

Tressaillons de joie (bis) car nos noms sont inscrits pour toujours dans les cieux ! Tressaillons de joie (bis) car nos noms sont inscrits dans le cœur de Dieu !

Jean Baptiste Blanchard dans Les maximes de l’honnête homme (1772) : Le plus difficile est de donner, alors que coûte-t-il d’y ajouter un sourire ? En faisant du bien, ne faites point de reproches, et quand vous obligez, que votre visage et vos paroles obligent encore plus. La tristesse de celui qui donne offense celui qui reçoit, et ôte tout le prix du bienfait. /

Tressaillons de joie (bis) car nos noms sont inscrits pour toujours dans les cieux ! Tressaillons de joie (bis) car nos noms sont inscrits dans le cœur de Dieu !

Robert Baden-Powell : « Un sourire est une clef secrète qui ouvre bien des cœurs.»/ un petit temps de silence

Jules Renard dans Journal du 25 décembre 1897 « Les rides sont des sourires gravés.»/ un petit temps de silence

Peter Ustinov : « Le rire est la musique la plus civilisée du monde. » / un petit temps de silence

Gandhi : « Le rire sincère est l’éloquence vraie, il est plus efficace que la parole»/ un petit temps de silence

Gérard Junot : « Le rire, comme les essuie-glace, permet d’avancer, même s’il n’arrête pas la pluie. » / un petit temps de silence

Charlie Chaplin : « Le rire est le chemin le plus court entre deux personnes. Une journée sans rire, est une journée perdue. » un petit temps de silence

Antoine de St Exupéry dans « Le petit Prince » : Pour les uns, qui voyagent, les étoiles sont des guides. Pour d’autres elles ne sont rien que de petites lumières. […] Toi, tu auras des étoiles comme personne n’en a […] Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire ! » un petit temps de silence

Seigneur, tu nous appelles et nous allons vers toi Ta Bonne nouvelle nous met le cœur en joie ! (Bis)

Pape François (homélie du 21 mai 2019) : « La paix de Jésus va de pair avec cette vie de persécution, de tribulation. C’est une paix qui est très profonde, une paix que personne ne peut enlever, une paix qui est un don, comme la mer tranquille en profondeur alors qu’il y a des vagues en superficie. Vivre en paix avec Jésus, c’est avoir cette expérience en soi, expérience qui demeure durant toutes les épreuves, toutes les difficultés. / C’est ainsi que de nombreux saints n’ont pas perdu la paix, et ils allaient au martyre comme invités à des noces. Cette paix ne peut être atteinte en allant chez le médecin ou en prenant des anxiolytiques, encore moins en accumulant de l’argent à la banque. Elle est donnée par l’Esprit-Saint qui apporte la force. / La paix de Jésus nous apprend à avancer dans la vie. Elle nous enseigne à supporter. Supporter, c’est un mot dont nous ne savons pas bien ce qu’il veut dire, un mot très chrétien. C’est porter sur ses épaules la vie, les difficultés, le travail, tout, sans perdre la paix… porter sur ses épaules et avoir le courage de continuer. / Cela se comprend seulement quand on a en nous l’Esprit-Saint qui nous donne la paix de Jésus et qui fait sourire le cœur. La personne qui vit cette paix ne perd jamais le sens de l’humour. Elle sait rire d’elle-même, des autres, de ses propres ombres aussi, elle rit de tout. » / Le pape François a souhaité aux chrétiens ce sens de l’humour qui est si proche de la grâce de Dieu : la paix de Jésus dans la vie quotidienne, la paix de Jésus dans les tribulations et un peu de ce sens de l’humour qui nous aide à respirer.  /

Seigneur, tu nous appelles et nous allons vers toi Ta Bonne nouvelle nous met le cœur en joie ! (Bis)

Cette prière de Saint Thomas More est reprise chaque jour par le Pape François lui-même : “Donne-moi une bonne digestion, Seigneur, et aussi quelque chose à digérer. Donne-moi la santé du corps avec la bonne humeur nécessaire à la maintenir. / Donne-moi une âme sainte, Seigneur, qui sache conserver ce qui est bon et pur, afin qu’elle ne s’épouvante pas en voyant le péché, mais trouve en Ta présence la voie pour redresser la situation. Donne-moi une âme qui ignore l’ennui, le gémissement et le soupir. Ne permets pas que je me fasse trop de souci pour cette chose encombrante que j’appelle « moi ». / Seigneur, donne-moi de l’humour, accorde-moi la grâce de comprendre une plaisanterie, pour que je tire quelque bonheur de cette vie et en fasse profiter les autres. Amen. /

Seigneur, tu nous appelles et nous allons vers toi Ta Bonne nouvelle nous met le cœur en joie ! (Bis)

Tournons-nous maintenant vers la Vierge Marie, de qui Jésus a reçu le premier sourire, elle qui a recueilli ses premiers éclats de rire, elle qui l’a suivi joyeusement sur les routes de Palestine, elle qui, avec les disciples, a répandu joie de la Résurrection: /

Je vous salue Marie…

Marche avec nous Marie sur nos chemins de foi Ils sont chemins de joie, ils sont chemins vers Dieu

Prière du pape François pour demander la joie de l’Évangile Ensemble : Vierge et Mère Marie, aide-nous à dire notre OUI, dans l’urgence plus que jamais pressante de faire retentir la Bonne Nouvelle de Jésus.

Viens avec nous Marie, sur nos chemins de foi Ils sont chemins de joie, ils sont chemins vers Dieu

Ensemble : Donne-nous la sainte audace de chercher de nouvelles voies pour que parvienne à tous le don de la beauté qui ne se ternit pas.

Cherche avec nous Marie sur nos chemins de joie Ils sont chemins vers toi, ils sont chemins vers Dieu

Ensemble : Aide-nous à rayonner pour que la joie de l’Evangile parvienne jusqu’aux confins de la terre et qu’aucune périphérie ne soit privée de sa lumière. Marche avec nous Marie, sur nos chemins vers Dieu Fais rayonner ta joie, qu’elle soit notre joie

Ensemble : Mère de l’Evangile vivant, source de joie pour les petits, prie pour nous.

Méditation de Frère Bruno Cadoré, dominicain du couvent Saint-Jacques à Caris La paix du cœur qui fait chanter Marie est la joie des commencements. Commencements d’un temps nouveau quand Dieu, accomplissant sa promesse, vient renverser le cours du monde : « Il renverse les puissants de leurs trônes, Il élève les humbles, Il comble de bien les affamés et renvoie les riches les mains vides. » /

Dieu fait le rêve d’un monde, monde plus beau à faire ensemble Rêve d’un monde, monde nouveau

L’aventure avec Dieu parmi nous n’est pas tranquille, elle est féconde. Dieu fait confiance à chacun pour faire, avec Lui, toute chose nouvelle. De cette confiance de Dieu à notre égard vient notre paix. /

Dieu fait le rêve d’un monde, monde plus beau à faire ensemble…

Nous rêvons tous à cette paix intérieure qui ferait tenir bon face à l’adversité, mais bien souvent nos cœurs sont agités, nos vies dispersées. Inquiétudes pour la santé, le travail et parfois même la vie quotidienne en ce contexte de pandémie, souci pour l’avenir des enfants et des jeunes, tensions dans les relations professionnelles, amicales ou familiales, perte de confiance en nous-mêmes après trop de difficultés ou d’échecs traversés. / Nous ressentons le besoin de rejoindre ce lieu au profond de notre cœur où nous serons en vérité avec nous-mêmes, en paix avec les autres, en paix avec Dieu. Mais est-ce possible ? « Qui nous fera voir un tel bonheur ? » interroge le Psaume. / « Mon âme exalte le Seigneur et mon esprit tressaille de joie en Dieu mon Sauveur ! » (Luc 1, 46-47) C’est ce que chante Marie. Voilà son secret ! La paix du cœur est du côté de la joie ! Pas une joie exubérante, naïve ou béate qui ferait semblant d’ignorer les duretés de la vie et serait un feu de paille. Plutôt la joie simple de qui découvre des signes, même modestes, de la fidélité de Dieu qui marche à nos côtés et, pas à pas, accomplit sa promesse. / La paix intérieure ne se gagne pas au prix d’efforts ou de méthodes. Elle est sœur de cette joie qui surgit quand on découvre que Dieu nous appelle à le rejoindre pour accomplir sa promesse. Une telle joie se reçoit, comme on reçoit l’ami qui se tient avec nous, en temps calme ou bien houleux, dans les moments de joie comme en ceux de peine, dans les réussites autant que les échecs. Ainsi, Dieu vient à nous : son amitié confiante et fidèle est notre paix parce qu’elle met nos cœurs en joie. /

Je vous laisse ma paix, je vous donne ma joie Pour que vous la portiez autour du monde entier Aimez-vous comme je vous ai aimés, aimez-vous chacun comme des frères Aimez-vous, je vous l’ai demandé. Aimez-vous ! Aimez-vous !

Hymne à la joie d’après Mère Teresa : La joie est prière, force et amour. Dieu aime celui qui donne avec joie. La meilleure manière de montrer notre gratitude envers Dieu et les gens, c’est d’accepter tout avec joie. Être heureux avec lui, maintenant, cela veut dire : aimer comme il aime, aider comme il aide, donner comme il donne, servir comme il sert, sauver comme il sauve, le toucher avec Son déguisement de misère dans les pauvres et dans ceux qui souffrent. / Un cœur joyeux est le résultat normal d’un cœur brûlant d’amour. C’est le don de l’Esprit, une participation à la joie de Jésus vivant dans l’âme.

Ensemble : Gardons dans nos cœurs la joie de l’amour de Dieu et partageons cette joie de nous aimer les uns les autres comme Il aime chacun de nous. /

Aimons-nous comme il nous a aimés, aimons-nous chacun comme des frères Aimons-nous, il nous l’a demandé. Aimons-nous ! Aimons-nous !

Que serait une relation entre deux personnes qui n’échangeraient aucune parole, où il n’existerait aucune communication ? La prière donne vie à notre relation avec Dieu. Chaque mot, chaque intention, chaque merci est un pont qui nous relie au Ciel à ceux pour lesquels nous prions. /

Le moment est venu de préparer chacun une prière plus personnelle pour les absents, les malades et pour tous ceux qui comptent sur nos prières.

Entre les intentions : Entends nos prières, entends nos joies, entends nos prières monter vers toi

Après les intentions : Que tes œuvres sont belles, que tes œuvres sont grandes ! Seigneur, Seigneur, tu nous combles de joie ! (Bis)

Évangile selon saint Luc ch. 10, v. 5 : « Lorsque vous entrerez dans une maison, dites “Paix à cette maison” ». / D’après une méditation de Frère Bruno Cadoré, Couvent Saint-Jacques à Paris : La paix proposée au chrétien n’est pas un sanctuaire intime bien protégé à l’abri duquel il se tiendrait à l’écart du monde. C’est la paix d’un Dieu qui prend le risque de se quitter lui-même pour venir dans le monde y annoncer la paix. / Mais ne faut-il pas avoir en soi trouvé la paix avant de partir l’annoncer aux autres ? Tel est justement le renversement que Jésus vient opérer. La paix en nous-mêmes, nous la recevons de la confiance que le Seigneur ne cesse de mettre en nous : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ! Allez, et soyez mes disciples ! » (Jn 14, 27) /

Soyez témoin d’amour, soyez signe de joie Et allez la porter autour du monde entier. Aimez-vous comme je vous ai aimés, aimez-vous chacun comme des frères Aimez-vous, je vous l’ai demandé. Aimez-vous ! Aimez-vous !

Le Seigneur connaît nos limites, nos ignorances, nos fragilités. Mais Il sait aussi le désir de nos cœurs qui veulent partager, avec d’autres, le trésor de l’amitié avec Lui. C’est pour cela qu’Il nous envoie. Plus encore, Il sait que les rencontres feront jaillir en nos propres cœurs la joie de voir se lever de nouveaux amis de Dieu, de voir pousser les germes de réconciliation, s’épanouir la fraternité. La joie de faire confiance au monde pour qu’il devienne un monde ami de Dieu. Et cette joie sera notre paix. /

Gloire à Dieu, paix aux hommes, joie du Ciel sur la Terre (Bis)

Au plein cœur de l’hiver, l’Évangile de l’épiphanie précisait que « les mages retournèrent chez eux par un autre chemin ». Certes, ils le font pour fuir Hérode, mais ne serait-ce pas le signe aussi de leur déplacement intérieur ? « Ne rentrez pas chez vous comme avant », dit le cantique. Et nous ? Quand est-ce que nous changeons de chemin ? /

Ne rentrons pas chez nous comme avant. Ne vivons pas chez nous comme avant. Changeons nos cœurs, chassons nos peurs. Vivons en hommes joyeux. Notre Père  Bénédiction + Envoi : Allons dans la joie du Christ Prochaine veillée de prière : le jeudi 27 mai à 20h