Veillée de prière pour la paix et les malades d’octobre

Thème : Redécouvrons les fruits de l’Esprit avec Mère Teresa et d’autres

Mère Teresa / Religieuse, 1910 – 1997 est une religieuse catholique albanaise, de nationalité indienne, surtout connue pour son action personnelle caritative et la fondation d’une congrégation de religieuses, les Missionnaires de la Charité qui l’accompagnent et suivent son exemple. Son œuvre auprès des plus démunis commence par l’éducation des enfants des rues et l’ouverture du mouroir de Kalighat à Calcutta. Pendant plus de 40 ans, elle consacre sa vie aux pauvres, aux malades, aux laissés pour compte et aux mourants, d’abord en Inde puis dans d’autres pays, et elle guide le développement des Missionnaires de la Charité. Au moment de sa mort, ceux-ci s’occupent de 610 missions, dans 123 pays, incluant des soupes populaires, des centres d’aide familiale, des orphelinats, des écoles, des hospices et des maisons d’accueil pour les personnes atteintes de maladies comme la lèpre, le sida ou la tuberculose. Mère Teresa est béatifiée le 19 octobre 2003, à Rome, par le pape Jean-Paul II.

O ô Seigneur en ce soir, écoute nos prières (bis)

Lecture de la lettre de St Paul apôtre aux Galates (5, 22) : « Voici les fruits de l’Esprit : amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, fidélité, douceur et maîtrise de soi. »

Nous sommes réunis ce soir au nom du père et du Fils et du Saint Esprit Amen. Aujourd’hui, je vous propose de redécouvrir les fruits de l’Esprit avec Mère Teresa et d’autres. Notre Dieu est un Dieu d’amour. Le premier fruit de l’Esprit, c’est donc l’amour. C’est le Seigneur qui nous a aimés le premier. Voici ce qu’il nous redit chaque jour, avec les mots de Mère Teresa : /

« Voici que je me tiens à la porte et que je frappe. C’est vrai ! Je me tiens à la porte de ton cœur, jour et nuit. Même quand tu ne m’écoutes pas, même quand tu doutes que ce puisse être Moi, c’est Moi qui suis là. J’attends le moindre petit signe de réponse de ta part, le plus léger murmure d’invitation, qui me permettra d’entrer chez toi. Je serai toujours là, sans faute. Silencieux et invisible, je viens, mais avec l’infini pouvoir de mon amour. /

Je viens avec ma miséricorde, avec mon désir de te pardonner, de te guérir, avec tout l’amour que j’ai pour toi. Un amour au-delà de toute compréhension, un amour où chaque battement du cœur est celui que j’ai reçu du Père même. Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Je viens, assoiffé de te consoler, de te donner ma force, de te relever, de t’unir à moi, dans toutes mes blessures. /

Je vais t’apporter ma lumière. Je viens écarter les ténèbres et les doutes de ton cœur. Je viens avec mon pouvoir capable de te porter toi-même et de porter tous tes fardeaux. Je connais tout de toi. Même les cheveux de ta tête, je les ai tous comptés. Rien de ta vie n’est sans importance à mes yeux. Je connais chacun de tes problèmes, de tes besoins, de tes soucis. Oui, je connais aussi tous tes péchés, mais je te le redis une fois encore : Je t’aime, non pas pour ce que tu as fait, non pas pour ce que tu n’as pas fait. Je t’aime pour toi même, pour la beauté et la dignité que mon Père t’a données en te créant à son image et à sa ressemblance. Je t’aime tel que tu es. /

Toi qui aimes ceux qui s’aiment car tu es l’amour Dans nos vies comme un poème fais chanter l’amour

Sainte Thérèse d’Avila écrivait ceci: « Le Seigneur ne nous demande que deux choses : l’amour de Dieu et l’amour du prochain. Aimons-nous Dieu ? Nous ne pouvons le savoir, quoiqu’il y ait cependant de grands signes pour en juger. Mais pour ce qui est de reconnaître si nous aimons le prochain, oui, nous le pouvons. Soyez-en certains, autant vous aurez fait de progrès dans l’amour du prochain, autant vous en aurez fait dans l’amour de Dieu. /

Toi qui aimes ceux qui s’aiment car tu es l’amour Dans nos vies comme un poème fais chanter l’amour

L’amour que notre Seigneur nous porte est si grand, qu’en récompense de celui que nous avons pour le prochain, il fait croître de mille manières celui que nous avons pour Lui-même : je n’ai aucun doute là-dessus. Puisque la chose est pour nous d’une si grande importance, essayons de bien voir où nous en sommes, et cela jusque dans les plus petites choses. /

Toi qui aimes ceux qui s’aiment car tu es l’amour Dans nos vies comme un poème fais chanter l’amour

Inspiré de prières de Mère Teresa : Ensemble : Jésus, tu es le soleil éclaté de l’amour du Père. Tu es l’espérance du bonheur éternisé. Tu es le feu de l’amour embrasé. Que la joie de Jésus soit force en nous, et qu’elle soit, entre nous, lien de paix, d’unité et d’amour. Amen

Méditation proposée par Marianne Goffoël Bruxelles

La joie est l’un des fruits de l’Esprit, nous dit Saint Paul. Selon le dictionnaire la joie est une émotion agréable, un sentiment de satisfaction ou de plaisir de durée limitée. La Joie dont nous parle l’Apôtre est tout autre, au point de constituer cet élément fondateur de sa foi en Christ. Cette joie s’enracine et se nourrit de cette rencontre personnelle avec le Christ, qui bouleversa sa vie sur la route de Damas. / Refrain : Donne la joie, donne la joie (2x) à ton frère (bis)

Les exemples d’une telle joie abondent dans l’évangile. Comme dans le récit d’Emmaüs, l’évangile du soir de Pâques : « Et ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur ne brûlait-il pas en nous tandis qu’il nous parlait en chemin et nous ouvrait les Ecritures » (Lc 24,32). Quelque chose s’est passé au plus profond d’eux-mêmes, l’expérience d’une rencontre, celle de la présence de Dieu qui se dévoile au cœur même de cette rencontre. / Christ est venu semer la joie, donne la joie à ton frère Ou encore Marie, « qui partit en hâte ». Elle entra dans la maison de Zacharie et salua sa cousine Elisabeth » (Lc 1, 39-40). Une explosion de joie réciproque ! « Lorsqu’Elisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant bondit dans son sein et Elisabeth fut remplie de l’Esprit-Saint » (Luc 1, 41) et Marie de s’écrier « Mon esprit s’est rempli d’allégresse à cause de Dieu, mon Sauveur ! » (Lc 1, 47). / Refrain Ces trois exemples, bien loin d’évoquer un enthousiasme passager, nous disent une certitude joyeuse, expression d’une réalité incroyable, extraordinaire. Cette réalité est fruit de l’Esprit, source d’une énergie communicative, moment clé d’une vie, souvenir impérissable, moment-source, référence vitale lors de moments plus difficiles. A la suite de tous ces personnages, avec notre propre expérience chantons, en toute occasion pour exprimer cette joie./Christ est venu

Mère Teresa : La joie est prière, force et amour. Dieu aime celui qui donne avec joie. La meilleure manière de montrer notre gratitude envers Dieu et les gens c’est d’accepter tout avec joie. Être heureux avec lui, maintenant, cela veut dire aimer comme il aime, aider comme il aide, donner comme il donne, servir comme il sert, sauver comme il sauve. /

Comme lui, savoir dresser la table, comme lui, nouer le tablier Se lever chaque jour et servir par amour, comme lui

C’est être avec lui 24 heures par jour, le toucher avec Son déguisement de misère dans les pauvres et dans ceux qui souffrent. Un cœur joyeux est le résultat normal d’un cœur brûlant d’amour. C’est un don de l’Esprit, une participation à la joie de Jésus vivant dans l’âme. /

Ensemble : Gardons dans nos cœurs la joie de l’amour de Dieu et partageons cette joie de nous aimer les uns les autres comme Il aime chacun de nous.Amen

D’après une méditation de Marcel Braekers, de Heverlee St Paul énumère toute une série de qualités pour décrire ce qu’est, selon lui, la vie selon l’Esprit. Quand il nous parle de la paix, nous pourrions penser que s’il y a une condition ou une qualité de vie que nous avons à portée de mains, c’est bien la paix. Toutes les querelles, les guerres, les disputes de famille, les querelles de voisinage sont le résultat de la jalousie, de la cupidité, de la domination, etc. En réglant cela, les gens ne pourraient-ils pas vivre en paix par eux-mêmes ? Pourtant, Paul pense différemment. Certes, régler les conflits que je viens d’énumérer est essentiel, mais ils ne touchent que le niveau le plus élémentaire de la paix. Il s’agit de la paix la plus accessible et la plus gérable. Pour Paul, une dimension plus profonde est la paix comprise comme un don de l’Esprit. /

Christ est venu semer la paix, donne la paix à ton frère (bis)

Cette paix, c’est celle que nous ressentons lorsque nous nous sommes réconciliés avec nous-mêmes, la paix qui survient lorsque la vie offre une nouvelle perspective, peu importe ce qui s’est passé. C’est la paix ressentie parce que nous nous sentons aimés au plus profond de nous-mêmes. N’avons-nous pas besoin de cette paix profonde et spirituelle pour établir la paix quotidienne de nos cœurs ? Ceux qui se savent reconnus et aimés au plus profond d’eux-mêmes ont ainsi une base solide pour se réconcilier, pour abandonner toute suffisance, pour faire un premier geste de rapprochement. Le don de l’Esprit provoque ainsi un profond bouleversement chez ceux qui sont convertis au Christ ! /

La paix, la paix, donne-nous Seigneur la paix Non pas celle qui vient du monde mais la paix qui vient de toi

Seigneur, Toi qui fais de la paix un don de Dieu pour les hommes, accorde à notre Unité pastorale cette paix sans laquelle il n’y a ni justice, ni amour, ni pardon. Chasse loin de nous l’esprit de colère et de rancune. Apprends-nous à être à l’écoute les uns des autres. Que notre communauté soit un havre de paix au milieu des tensions de ce monde. / Donne la paix (3x) à ton frère (bis)

À l’image de ton Église, que le Christ soit la source et le sens de notre vie pour qu’il règne sur chacun de nos gestes, sur chacune de nos paroles, de nos pensées et de nos intentions. Pour cela, apprends-nous, Seigneur, à être assez maîtres de nous-mêmes pour ne pas imposer aux autres la fatigue et la mauvaise humeur qui viennent de l’extérieur. /

Accorde à chacun de nous un cœur qui comprenne, une oreille qui écoute, une main qui aide. Qu’en désamorçant les conflits, la paix ait toujours le dernier mot entre nous. Que tous ceux qui viennent dans notre communauté fassent l’expérience de la paix qui vient de Toi. Aide-nous à faire l’impasse sur les paroles blessantes, la critique ou la médisance, le mécontentement, le ressentiment, la rancune, l’égoïsme, le pessimisme et les préoccupations inutiles, afin de laisser la place aux bénédictions, à la bienveillance, la patience, la gratitude, la charité, l’espérance, la confiance. /

Donne la paix, donne la paix, donne la paix à ton frère (bis)

Enfin Seigneur, rappelle-nous toujours l’importance de prier pour la paix sans laquelle il n’y a pas d’avenir ni d’amitié possible entre les hommes. Offre à nos enfants, par l’exemple de notre unité et de notre pardon, l’expérience de la paix qui fera d’eux des témoins confiants et unifiés de ton amour. /

La paix, la paix, donne-nous Seigneur la paix Non pas celle qui vient du monde mais la paix qui vient de toi

Seigneur, avec les mots de Mère Teresa, apprends-nous la patience :

Les gens sont souvent déraisonnables, illogiques et centrés sur eux-mêmes. Pardonne-leur quand même. / un moment de silence…

Si tu es gentil, les gens peuvent t’accuser d’être égoïste et d’avoir des arrières pensées. Sois gentil quand même. / un moment de silence…

Si tu réussis, tu trouveras des faux amis et des vrais ennemis. Réussis quand même. / un moment de silence…

Si tu es honnête et franc, il se peut que les gens abusent de toi. Sois honnête et franc quand même. / un moment de silence…

Ce que tu as mis des années à construire, quelqu’un pourrait le détruire en une nuit. Construis quand même. / un moment de silence…

Si tu trouves la sérénité et la joie, ils pourraient être jaloux. Sois heureux quand même. / un moment de silence…

Le bien que tu fais aujourd’hui, les gens l’auront souvent oublié demain. Fais le bien quand même. / un moment de silence…

Donne au monde le meilleur de ce que tu as, et il se pourrait que cela ne soit jamais assez. Donne le meilleur quand même. Tu vois, en faisant une analyse finale, c’est une histoire entre toi et Dieu, cela n’a jamais été entre eux et toi ! /

La paix, la paix, donne-nous Seigneur la paix, non pas celle qui vient du monde

Mère Teresa : Seigneur crucifié et ressuscité, apprends-nous à affronter les luttes de la vie quotidienne. Tu as humblement et patiemment accueilli les échecs de la vie humaine, comme les souffrances de la crucifixion. Alors les peines et les luttes que nous apporte chaque journée, aide-nous à les vivre comme des occasions de grandir et de mieux te ressembler. Rends-nous capables de les affronter, remplis de confiance en ton soutien. / Fais-nous comprendre que nous n’arrivons à la plénitude de la vie qu’en mourant sans cesse à nous-mêmes et en nos désirs égoïstes. Car c’est seulement en mourant avec Toi que nous pouvons ressusciter avec Toi. Que rien désormais ne nous fasse souffrir ou pleurer au point d’en oublier la joie de ta résurrection. / Que nous te reconnaissions aussi quand tu te caches sous le déguisement de ceux qui sont facilement irritables, exigeants et déraisonnables, et que nous puissions dire : « Jésus plein de patience, comme il est doux de te servir ! » Donne-nous cette foi qui désire et notre travail ne sera jamais ennuyeux. /

Ensemble : Seigneur, ouvre nos yeux, que nous te reconnaissions dans nos frères et sœurs. Ouvre nos oreilles, que nous entendions les appels de ceux qui ont faim, de ceux qui ont froid, de ceux qui ont peur et que l’on opprime. Ouvre nos cœurs, que nous nous aimions les uns les autres comme tu nous aimes. Renouvelle en nous ton Esprit, Seigneur, rends-nous libres, unis et doux.

Sœur Emmanuelle : Seigneur donne-moi Ta divine douceur, toi qui voulus être un petit enfant enveloppé de langes, un adolescent soumis à Marie et Joseph, un Messie jamais conquérant, un Ressuscité dans le secret. / Seigneur, donne-moi Ta divine douceur, Toi qui as dit: “Bienheureux les doux, ils possèderont la terre.” Donne-moi de saisir chaque chose avec douceur : le téléphone et la valise, la plume et le balai, la fourchette et le plat, et surtout la main qui se tend vers moi. / Seigneur, donne-moi Ta divine douceur, Toi qui as dit : “Apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur”. Donne-moi d’accueillir toute chose avec douceur : le bon et le mauvais, la joie et la peine, l’encouragement et la critique, l’instant tel qu’il est, et surtout l’autre tel qu’il se présente. /

Mère Teresa : Ensemble : Mon Dieu, grand guérisseur, nous sommes là, devant toi. Nous t’en prions, donne à nos mains l’habileté, à notre raison la perspicacité et à notre cœur la douceur et la compassion. Accorde-nous une ambition soutenue et la force de prendre sur nous une part du fardeau que portent les hommes en souffrance. Ôte de notre cœur toute perfidie ; que nous puissions te faire confiance avec la foi simple des enfants.

Soeur Emmanuelle : Vierge pleine de grâce, Vierge du sourire, restaure en nous la divine douceur, apprends-nous à guérir ceux que nous avons blessés. Que ta tendresse fasse surgir sur nos lèvres les paroles d’amour qui rétablissent la paix. / Je vous salue Marie Marie, témoin d’une espérance, pour le Seigneur tu t’es levée Au sein du peuple de l’Alliance tu me fais signe d’avancer Toujours plus loin, toujours plus loin

Mère Teresa : La chose la plus importante, c’est le silence. Nous avons besoin de découvrir Dieu, et Dieu ne peut pas être trouvé dans le vacarme et l’agitation. Dieu est l’ami du silence. /

Pour entrer dans le silence et pour te prier, pour m’ouvrir à ta présence, en moi tout se tait

Le moment est venu de préparer chacun une prière plus personnelle pour les absents, les malades et pour tous ceux qui comptent sur nos prières. Nous pourrons ensuite partager nos intentions ou les confier au Seigneur en silence.

Seigneur écoute nous, Seigneur exauce nous

Psaume 36 (versets 5 à 9) Éternel ! Ta bonté atteint jusqu’aux cieux, ta fidélité jusqu’aux nuages. Ta justice est comme les montagnes de Dieu. Tes jugements sont comme le grand abîme. Éternel ! Tu soutiens les humains et tout ce qui vit. Combien est précieuse ta bonté, ô Dieu ! À l’ombre de tes ailes, les enfants humains cherchent un refuge. Ils se rassasient de l’abondance de ta maison, et tu les abreuves au torrent de tes délices. Car auprès de toi est la source de la vie et par ta lumière nous voyons la lumière. / Tu es le Dieu fidèle, éternellement

Définitions du mot « fidélité » : « Fidélité : Attachement à une foi religieuse », « Souci de la foi donnée, respect des engagements pris. » ; Seigneur, garde-nous forts et solides dans la foi. / « Fidélité : Qualité d’une personne au service d’une autre, qui s’acquitte de ses fonctions avec dévouement et zèle. » ; Seigneur, fais de nous de bons Samaritains. / « Fidélité : Respect de la foi conjugale, respect de l’engagement pris, envers la personne aimée, de lui être exclusivement attachée » ; Seigneur nous te prions pour les couples qui connaissent des difficultés. / « Fidélité : Qualité de ce qui est conforme à la réalité, à un modèle, à un original » ; Seigneur, aide-nous à être à ton image. / « Fidélité : Qualité de ce qui se caractérise par sa sûreté, sa fiabilité » ; Seigneur, fais de nous des hommes et des femmes sur lesquels on peut compter. /

Tu es le Dieu fidèle, éternellement (bis)

Mère Teresa : Rien ne peut nous rendre saints, excepté la présence de Dieu. Et pour moi la présence de Dieu réside dans la fidélité à de petites choses. Nous pouvons ne pas accomplir de grandes choses – juste des petites, avec grand amour. Les Sœurs font des petites choses : aider les enfants, visiter les personnes solitaires, les malades, les indésirables. Quand quelqu’un me dit que les Sœurs n’ont entrepris aucun grand travail, qu’elles font tranquillement de petites choses, je réponds que même si elles n’aidaient qu’une seule personne, cela suffirait. Jésus serait mort pour une seule personne, pour un seul pécheur./

Tu es le Dieu fidèle, éternellement (bis)

D’après Mère Teresa : Ensemble : Soyons bons et miséricordieux. Que personne ne vienne à nous sans repartir meilleur et plus joyeux. Soyons la vivante expression de la bonté de Dieu. Bonté sur notre visage, bonté dans nos yeux, bonté dans notre sourire, bonté dans notre accueil plein de chaleur. / Notre Père – Bénédiction – Envoi Prochaine veillée : jeudi 26 novembre à 19h