Veillée de prière de mai pour la paix et les malades

Thème : le bon Samaritain

Au cœur de leur détresse, aux cris de leurs douleurs C’est toi qui souffres dans leurs chairs et nous passons sans te voir (bis)

La mission de Jésus, Fils de Dieu, est de nous parler de son Père ‘tendre et miséricordieux, lent à la colère, plein d’amour et de vérité’ (Ex 34,6-7 et Ps 144, 8-9) Les Evangiles nous permettent de connaître Jésus, de voir comment sa mission se déploie, nous invitent à le suivre pour construire la paix. Dans l’Evangile de Luc, appelé aussi l’Evangile de la Miséricorde, Jésus nous dit : « Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux. » (Lc 6, 36). La parabole du bon Samaritain se trouve dans cet Evangile. Elle invite à répondre à deux questions : ‘’Qui est mon prochain ?’’ et ‘’De qui je me fais le prochain ?’’ Entrons dans la prière au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit./

Evangile selon saint Luc 10,25-37

Le docteur de la Loi dit à Jésus: « Et qui est mon prochain ? » Jésus reprit la parole : « Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur des bandits; ceux-ci, après l’avoir dépouillé et roué de coups, s’en allèrent, le laissant à moitié mort. Par hasard, un prêtre descendait par ce chemin; il le vit et passa de l’autre côté. De même un lévite arriva à cet endroit; il le vit et passa de l’autre côté. / Mais un Samaritain, qui était en route, arriva près de lui; il le vit et fut saisi de compassion. Il s’approcha, et pansa ses blessures en y versant de l’huile et du vin; puis il le chargea sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui. Le lendemain, il sortit deux pièces d’argent, et les donna à l’aubergiste, en lui disant: “Prends soin de lui; tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rendrai quand je repasserai.” / Lequel des trois, à ton avis, a été le prochain de l’homme tombé aux mains des bandits ? » Le docteur de la Loi répondit: « Celui qui a fait preuve de pitié envers lui. » Jésus lui dit : « Va, et toi aussi, fais de même. /

Envoie tes messagers, Seigneur, dans le monde entier Envoie tes messagers pour qu’ils pansent tes plaies. Alléluia !

Une prière de la Mission Ouvrière du Diocèse de Lille Merci d’avoir semé dans le cœur de certains le don, le talent et la force de prendre soin, ce désir étonnant de remettre debout ceux que la maladie a mis à genoux. / Ensemble : Merci Seigneur

 

De celui qui nettoie à celui qui opère, de celle qui rassure à celle qui transfère, tu as placé dans le cœur des soignants un trésor plus précieux que l’or et l’agent. / Ensemble : Merci Seigneur

Donne à nos soignants la force de continuer à tenir contre cette pandémie dont nous craignons toujours le pire. Donne à chacun de nous d’agir avec raison pour ne pas rendre impossible leur mission. / Ensemble : Nous te prions Seigneur

Que cette épreuve soit une prise de conscience que les cris des soignants étaient pleins de bon sens. Aujourd’hui, que chacun d’eux sois pour nous un exemple. / Ensemble : Nous te les confions, Seigneur

Seigneur, nous te rendons grâce pour tous ces hommes et ces femmes qui avec courage et abnégation se mettent au service de leur prochain et de la société, parfois au mépris de leur propre santé. Ils sont le signe vivant de ton amour pour nous. / Nous te les confions, Seigneur

Nous te prions pour le personnel soignant, en ville ou en hospitalisation, parfois débordé par le travail et qui se dévoue auprès de ceux qui souffrent : que ton Esprit les aide à accueillir, soulager, prendre soin de chaque malade. /

Ensemble : Inspire-les, Seigneur

Nous te prions pour les chercheurs qui consacrent leur temps, leur énergie à la découverte de traitements : que ton Esprit les éclaire. / Ensemble : Inspire-les, S Nous te prions, Seigneur, pour tous ceux qui à travers leur métier ou par le bénévolat, s’engagent pour nous apporter ce dont nous avons besoin en cette période d’épidémie : que ton Esprit les renforce. Ensemble : Seigneur guide-les et protège-les tous dans leurs missions ! Amen

Aux pas de leurs déroutes, aux nuits de solitude C’est toi qui souffres sur leur croix et nous passons sans te voir (bis)

Seigneur Jésus, nous prions pour les soignants, et c’est une bonne chose, mais nous savons très bien que l’évangile du bon Samaritain n’évoque pas seulement les médecins, les infirmières, les aumôniers et les visiteurs de malades, mais bien chacun de nous dans ce qu’il est appelé à être pour les autres. /

D’après une méditation de Michel Quoist : Et qui est l’autre ? C’est celui que tu rencontres sur ta route, celui qui grandit, travaille, se réjouit ou pleure à côté de toi, celui qui aime ou qui hait à côté de toi, celui dont tu ne dis rien, dont tu ne penses rien, parce que tu passes sans regarder et que tu ne l’as pas vu. / C’est celui avec qui tu collabores chaque jour pour achever la création du monde. C’est ton prochain, celui que tu dois aimer de tout ton cœur, de toutes tes forces, de toute ton âme. C’est celui qui te grandit, c’est un cadeau d’amour du Christ. C’est celui par qui Dieu s’exprime, par qui Dieu invite, par qui Dieu enrichit, par qui Dieu mesure notre amour. / Et pourtant… Nous avons peur de nous approcher de celui qui souffre. Nous détournons notre regard. Nous passons sur la route, sans le voir, car nous sommes trop préoccupés de nous-mêmes. Ou nous avons peur, nous ne voulons pas déranger. Nous sommes gênés de voir ceux qui ont faim, froid, ceux qui sont abandonnés, ou handicapés. Nous fermons nos portes aux étrangers. / Toi Jésus, tu nous invites à nous approcher du pauvre pour soigner ses blessures, pour l’aimer comme tu l’aimes, pour entrer en relation avec lui et découvrir sa beauté. Donne-nous ton Esprit pour être de bons Samaritains chaque jour autour de nous. /

O Seigneur envoie ton Esprit. Qu’il renouvelle la face de la Terre !

Évangile selon saint Marc 1,13 : « Il vivait parmi les bêtes sauvages, et les anges le servaient. »

D’après une méditation de Frère J-B Rauscher (couvent de Fribourg) Pour trouver la paix du cœur, ouvrir ce cœur aux autres et devenir de bons samaritains, il nous faut fuir ce qu’il y a de bestial en nous : débordements de colère, d’envie, instincts mal maîtrisés…Tenir en respect la bête sauvage qui nous habite tous. Pourtant, il nous faut autant éviter de ressembler à la bête sauvage qu’à l’ange. /

Ah bon ? Les anges ne sont-ils pas des créatures spirituelles, si proches de Dieu, des créatures auxquelles nous devrions ressembler ? Eh bien, justement pas ! Il ne faut pas rester au niveau du sol, mais il ne faut pas non plus rêver trop vite à des altitudes inatteignables. N’imaginons pas que nous pourrions nous élever vers Dieu d’un coup de battement d’ailes. Acceptons que nos chemins humains soient souvent laborieux et tâtonnants. Nous sommes faits de chair et de sang et c’est cette réalité qui est pour nous le chemin vers Dieu. / Le Seigneur nous invite à apprendre à aimer ou, ce qui est la même chose, réapprendre à habiter notre humanité. Et être profondément humain, c’est se situer sur ce chemin de crête entre la bête sauvage et l’ange. Devenir un homme juste, c’est consentir à être juste un homme. Car c’est là que nous rencontrerons la main de Dieu qui nous élèvera jusqu’à Lui, c’est lui qui fera de nous de bons Samaritains/

Rendez grâce au Seigneur car il est bon (ter) ! Eternel est son amour !

Nous venons de le chanter et plusieurs Pères de l’Eglise, dont Saint Grégoire de Nysse (IV° siècle), ont vu dans le bon Samaritain Jésus lui-même et dans l’homme tombé aux mains des brigands l’Humanité égarée et blessée par son péché. Il nous invite à accueillir cette parabole avec un autre niveau de lecture. Pour lui, c’est toute l’histoire sainte de la Miséricorde qui se déploie. / Le récit raconte la descente de l’homme qui s’éloigne de Dieu, l’embuscade du Mal, les blessures du péché. Ni la Loi ni l’offrande des sacrifices, représentées par le docteur de la Loi et le lévite, ne peuvent suffire à sauver l’homme du péché. Seul le Christ prenant sur lui le péché de l’Homme, par son sacrifice sur la Croix, guérit toute l’Humanité de ses plaies, de son péché. Il fait de sa Miséricorde une hôtellerie, c’est-à-dire l’Eglise où ceux qui peinent et ploient sous le fardeau trouvent le repos. (Mt 11, 28) /

En lui viens reconnaitre (ter) ton Dieu, ton sauveur

L’huile utilisée par le bon Samaritain peut être vue comme une référence à l’huile de l’onction pour les sacrements (baptême, confirmation, ordre et le sacrement des malades) ; le vin, remède de l’époque, comme celui de l’Eucharistie. Le temps qui s’écoule avant le retour du bon Samaritain, fait penser au temps entre l’Ascension du Christ et son retour promis par lui : ‘Je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin des temps’ (Mt 28, 20). ‘Nous attendons ta venue dans la gloire’, professons-nous à chaque eucharistie après la consécration du pain et du vin. / Alors quel message pour le croyant ? La compassion du Samaritain pour l’homme blessé est bien le propre du Christ qui dispense sans compter compassion et guérison. Cela vaut aussi pour le chrétien, membre du Corps du Christ qu’est l’Eglise : ‘Vous êtes le Corps du Christ et, chacun pour votre part, vous êtes membre de ce corps.’ (1 Co 12, 27) Le chrétien, parce qu’il est uni au Christ, devient vecteur de l’amour du Christ pour l’Humanité. /

La route est courte, ce s’rait dommage de se croiser, sans s’regarder La route est courte, ce s’rait dommage de se croiser sans s’rencontrer

Première lettre de saint Paul aux Corinthiens (12, 12) : « Le corps ne fait qu’un, il a pourtant plusieurs membres ; et tous les membres, malgré leur nombre, ne forment qu’un seul corps. »/

Nous sommes le corps du Christ. Nous sommes le sang du Christ Nous sommes l’amour du Christ. Alors ? Qu’avons-nous fait de lui ?

Méditation de Sœur Anne-Dominique du Monastère de Prouilhe

Ah ! Les puzzles ! Vous savez ces petites pièces de formes si bizarre que vous vous demandez comment elles vont s’assembler. D’abord, vous les retournez une à une, puis, plein d’élan, vous les regroupez par couleur, par genre, pour chercher à « faire sortir » une image. Arrive un moment où vous vous découragez : « Où est cette pièce ? Elle est perdue ? Et celle-ci, tellement bizarre, sûrement elle n’appartient pas à ce puzzle. » Eh bien ! Dans la vie c’est pareil. On appartient tous à un groupe, famille, travail, loisirs. Mais qui ne s’est pas déjà dit : « Celui-là ne fait pas partie du paysage, il est de trop ! » ? / Pendant l’épidémie de COVID, beaucoup se sont sentis inutiles, pas à leur place, pas essentiels. Pour Dieu, rien ni personne ne manque ou n’est en trop ! Il nous aime tels que nous sommes, tordus, bossus, anachroniques ou étrangers. Chacun a sa place dans la construction du Royaume, dans la venue d’un monde meilleur. Son amour n’exclut ni ne rejette jamais personne. Il a besoin de tous, de chacun./ Pourtant, c’est vrai, il faut parfois patienter pour trouver sa place : celle qu’on croyait bonne, n’est finalement pas si bonne, comme ces pièces qui flottent ou qu’on force pour ajuster. Parfois, il faut accepter d’attendre que d’autres soient en place pour pouvoir s’accrocher. /

Ensemble : Seigneur, c’est ensemble que nous faisons naître l’image que nous découvrirons en vérité au dernier jour. Avec toi et en toi, aide chacun de nous à trouver sa place dans le grand « jeu » de la vie.

De grandes figures de l’Eglise ont pratiqué la Miséricorde en aidant les pauvres, les malades quel qu’ils soient, les blessés de la vie comme Raoul Follereau, le curé d’Ars, saint Vincent de Paul, sainte Jeanne Jugan fondatrice des « Petites sœurs des pauvres ». A chacun de trouver un saint dont il est familier et dont il pourra s’inspirer. Voici comment priait Mère Térésa : /

Prière pour chaque soignant de Sainte Mère Terésa

Seigneur, médecin suprême qui soignes et qui guéris, je m’agenouille devant toi, car c’est de toi que viennent tout bien et tout don parfait. Tu m’as choisi pour te servir, te soulager et te soigner dans les plus pauvres, atteints et diminués dans leur corps, leur cœur et leur esprit. Fais-moi prendre pleinement conscience du privilège qui est le mien d’être à ton service. / Je t’en prie, donne à ma main l’habileté et la douceur aimante, à mon esprit la perspicacité, à ma bouche les mots qui apaisent, à mon regard la tendresse et la bienveillance, et à mon cœur tout l’amour que tu attends. Fais que je ne regarde pas le temps que je vais passer auprès de toi souffrant. / Donne-moi de m’engager sincèrement à ton service et accorde-moi la force de prendre, pour l’amour de toi, une part du fardeau de mes frères souffrants. Enlève de mon cœur tout scrupule et toute mondanité, pour qu’avec la foi simple d’un enfant, je puisse m’appuyer sur toi. /

Changeons nos cœurs, croyons à la Bonne Nouvelle Changeons de vie, croyons que Dieu nous aime

Évangile selon saint Matthieu 4, 4 : « L’homme ne vit pas seulement de pain. »

D’après une méditation de Frère Jacques-Benoît Rauscher, Couvent de Fribourg

Il y a quelques années, j’avais été appelé à occuper dans le couvent dominicain où je vivais la fonction d’intendant. Le frère qui me précédait à cette tâche me l’avait expliquée en ces termes : « Être intendant c’est veiller sur les manques des frères. » Si cette réponse concernait d’abord l’approvisionnement en tubes de dentifrice et mousse à raser, elle me semblait porter, malgré elle, une certaine profondeur. Elle disait quelque chose de la mission même du chrétien. Le chrétien est celui qui veille sur les manques. Veiller sur les manques c’est tenir un équilibre subtil. / C’est bien sûr donner à l’autre les biens — matériels et spirituels — qui lui sont indispensables et qu’il demande. Mais c’est, en même temps, ne pas chercher à combler tous les manques de ses frères. Veiller sur les manques c’est savoir où s’arrêter dans le secours apporté. Il y a en effet une aide matérielle qui peut écraser l’autre et nier sa liberté en prétendant l’assister. Il y a, de même, une proximité spirituelle qui ne respecte pas la liberté de l’autre, le secret de sa rencontre avec Dieu. / Quand Jésus jeûne au désert, le diable se présente à Lui comme un mauvais intendant. Il prétend combler son manque sans se mettre à son écoute, sans regarder son itinéraire spirituel. Pour devenir de bons intendants, avant d’ouvrir nos deux mains pour donner le pain qui rassasie, ouvrons d’abord nos deux oreilles pour écouter ce que l’autre nous demande. « L’homme ne vit pas seulement de pain. » Il vit aussi de la parole de Dieu, et de la parole du frère qui dit sa liberté et sa dignité. /

 

Ta Parole Seigneur est vérité et ta loi délivrance

Psaumes 4, 7 : « Sur nous, Seigneur, que s’illumine ton visage ! » D’après une prière de Sœur Marie-Cécile de Jésus, Moniale de Prouilhe : Seigneur du Ciel et de la Terre, tu nous as envoyé ton Fils bien aimé pour rendre à notre humanité sa beauté originelle. Montre ta tendresse à ton peuple défiguré par la peur, la maladie, la violence, l’indifférence et qui crie vers Toi aujourd’hui. Viens à notre rencontre transformes-nous en Toi. / Par amour vrai, et non en apparence, tu as masqué ta divinité sous la chair du premier Adam. À la Transfiguration, ton corps rayonne de la lumière que tu es. À cette intimité qui t’unit au Père et à l’Esprit, à ce mystère fou d’amour, tu fais participer tes disciples. / Nous sommes infiniment plus beaux que ce que nous croyons et paraissons. Ton image inscrite au fond de nos âmes resplendit de ta lumière. Seigneur, révèle-moi la beauté de ceux qui m’entourent et donne-moi de voir sous les aspects extérieurs, au-delà des épreuves et des échecs, les signes de ton amour et de ta présence à nos côtés. /

Oui nous croyons en cet amour qui l’a conduit jusqu’à la croix. Nous croyons au jour de Pâques, au triomphe du Seigneur

L’amour de Dieu ne peut être séparé de l’amour du prochain qui se vit à travers tous les petits gestes de la vie quotidienne. Plus on est rejoint par l’amour de Dieu, plus on est en mesure d’aimer. « Nous aimons parce que Dieu lui-même nous a aimé le premier. » (1 Jn 4, 19). D’où l’importance d’être ‘branché’ sur le Christ par la prière, l’écoute de la Parole de Dieu, les sacrements pour y puiser son amour dans les épreuves comme dans les joies. /

Oui nous croyons en cet amour qui l’a conduit jusqu’à la croix. Nous croyons au jour de Pâques, au triomphe du Seigneur

Une prière de Bernadette Thesin

Je voudrais que plus larges soient mes bras pour accueillir mes frères, plus doux mes gestes pour les consoler, plus simples mes mots pour les rejoindre, et plus lumineux mes regards pour les envelopper. / Je voudrais que plus attentives soient mes oreilles pour percevoir leurs plaintes, et plus ouvert mon cœur pour leur faire refuge. / Je voudrais que plus ancrée soit mon espérance en l’avenir, plus profond, plus total mon pardon, et plus tendre ma présence pour déposer en chacun LA Présence d’Amour. / Mais nous avons toujours besoin de toi Seigneur. Et c’est dans la prière que nous te confions maintenant tout ce qui nous tracasse, tout ce qui nous dépasse. /

Le moment est venu de préparer chacun une prière plus personnelle pour les absents, les malades et pour tous ceux qui comptent sur nos prières.

Entre les intentions : Seigneur entends les prières qui montent jusqu’à toi Après les intentions : Vierge bénie entre toutes les femmes, mère choisie entre toute les mère, mère du Christ et mère des hommes, prends pitié de nous (bis)

Vierge Marie, nous te confions tous ceux qui souffrent dans leur corps, dans leur cœur, dans leur âme et que nous ne connaissons pas. Qu’ils gardent foi et espérance en ton fils qui as connu notre condition humaine. Que ta douce présence soit notre force et vienne apaiser leurs douleurs par l’entremise de nos bras et de nos paroles aimantes. / Je vous salue Marie

Prions pour ceux qui traversent l’épreuve de la maladie. Donne-leur Seigneur de garder force et patience pour la combattre, mais aussi espoir et foi pour continuer à accueillir les joies de la vie parce que nous sommes à leurs côtés pour les partager. / Ensemble : Seigneur, nous te prions.

Afin que toute personne en souffrance puisse trouver sur son chemin des personnes capables de l’écouter, de la soigner, de l’aider, de l’entourer, de l’aimer. / Ensemble : Seigneur, nous te prions.

Pour que notre monde sache garder un regard plein d’amour et de tendresse envers les personnes les plus fragiles, à l’image du Christ. Pour que les personnes en situation de faiblesse puissent vivre, grandir et s’épanouir dans la certitude d’être accueillies, protégées et encouragées par de bons samaritains.  / Ensemble : Prions le Seigneur »

Ensemble : Seigneur, que nous préférions toujours une chose bien faite dans un jour tranquille, à beaucoup de choses imparfaites dans un jour trépidant, sans halte et sans repos. Enseigne-nous au travers de la vie que tu nous donnes, l’art de bien aimer, la vertu d’être juste, la patience dans la souffrance, la générosité dans la joie.

Ne rentrons pas chez nous comme avant. Ne vivons pas chez nous comme avant. Changeons nos cœurs, chassons nos peurs. Vivons en hommes nouveaux.

Notre Père Bénédiction + Envoi : Allons dans la paix du Christ Prochaine veillée de prière : le jeudi 24 juin à 20h

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